Page:Hoffmann - Contes fantastiques,Tome 2, trad. Egmont, 1836.djvu/424

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de leurs esprits, et me donneront la force et le courage de supporter patiemment jusqu’au bout le fardeau de la vie ! — Il n’y a plus de présent pour moi. Les jours heureux du passé seuls se rattachent à mon espoir d’une vie future, qui remplit souvent de ses brillantes images mes rêves fantastiques, dans lesquels je vois mes amis chéris m’appeler à eux en souriant. — Quand donc…, quand m’en irai-je auprès de vous ? »

Et il s’en est allé.