Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/289

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Et pas plus loin : du chien nul ne prit la défence ;
Et pour toute reconnoissance,
C’est dommage, dit-on ; mais qu’y faire ? Il est mort.
Un ennemi nuit plus que cent amis ne servent ;
Qu’à jamais les dieux m’en préservent.
La haine veille, et l’amitié s’endort.