Page:Houdar de La Motte - Œuvres complètes, 1754, tome 9.djvu/356

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Elle languit, succombe, et maudissant sa race,
De chagrin et de faim s’en va voir ses ayeux.

Voilà ce que je devois craindre,
Mes enfans, leur dit-elle, au moment du trépas,
Je vous ai négligé ; quand je vous trouve ingrats,
C’est de moi que je dois me plaindre.