Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/16

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votre hymen$ mo* pire n’est plut !... l’ingrate m’abandonne tt voilà tout ce qui me reste de. son amour !\t, A m i i i n,àparj> Que vois-je ? est-ce ejicqre le ruban qu’il tient de moi?.., f r é D É a i c , avec un accent déchirant. * Ah ! que je souffre ! bob s s k z • allant à lui» ' Frédéric. r a é d 'éa i c, paraissant soulagé à sa vue» C’est vous , mon généreux protecteur ! ah ! j’avais besoin de vous voir ; pourquoi m’avea-vous quitté î ,\ts o b B e x x. Songes que vous êtes ici au milieu de vos parens, v a é d É a i c y concentrant sa voix» Mes parens ! je n’en ai plus 1 ils m’ont tous abandonné. Ils ont souffert l’odieuse persécution qui me conduit au tom¬ beau. ( pleurant» ) Ils me restait une amie , la confidente d< mes peines ! ils me l’ont enlevée ; et pour qui ? pour un traî¬ tre que j’aimais et qui m’a trompé comme les autres. Ah l Dorbak ! Dorbak! cette perfidie est-elle pardonnable? .\tA m é x i a. ' Que veut-il dire ?\t* F R É D É l/ r c. C’en est fait ! là honte est mon partage, la mort m'attend, ■ni s e ne mourrai pas sans vengeance.\t- SOBESKI.\t- Encore une fois, mon cher Frédéric , je vous rappelle que vous êtes dans le sein de votre famille. t\tAUGUSTE. Mon frère. Frédéric, avec égarement» -Je n^ai plus de frère ! DONASKO. Mon neveu.\t. <\tf a i d É ri c. Je n’ai plus de pftrens , vous dis-je.\t' a m i l fÉ , tremblante» Frédéric ! FRiüÉRic , avec un mouvement de sarprife et de joie» , Quçl accent ! a n o i l A , d*un ton mignard»\t- ■ Mon jeune ami! FRÉDÉRIC. Quelle est cette voix ? x\tANGÉLA. Vous souvient-il de cette Angéla qui guida vos premiers pas dans la carrière de la vie ?\t,