Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/17

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( >7 ) FRÉDÉRIC. Angéla ! quel nom ! <\tANGÉLA. Mon nom lui plait.\t• FREDERIC.\tf Vous êtes jeune et facile à séduire par des a pparejnce? trompeuses.\t. , •\tANGÉLA. Il me trouve jeune encore.\tL ,\tFRÉDÉRIC. Craignes les pièges des hypocrites , et souvenez-vous que la beauté n’est bien sans la constance et les qualités de Pâme. Puissiez-vous me conserver un sentiment qui fera toujours le charme de ma vie.\t-\t- Il sort précipitamment. Donasko et Péters le suivent ainsi que les vassaux. Auguste et Amélie le suivent quelques pas. SCENE XI. PAULINA, ANGÉLA, SOBÉSKI, AMÉLIE, AUGUSTE. ANGÉLA. * Et vous dites qu’il est fou ! 8 O B E S K I. La voilà prise. ANGÉLA.\t; Je n’aurais jamais cru avoir conservé tant d’empire sur so< esprit... Suivons ses pas ; il m’intéresse à un point... Il me trouve jeune et belle encore. soBE8Ki,d part* Ob ! celui-là est un peu trop fort. angéla, Je n’ai pas rencontré un homme qui eût autant de raison. ( elle sort. )\t’ SOBESKI. Elle est toujours la même... ne la quittons pas. ( il sort. ) S C E N E X I I.\tu PAULINA, AMÉLIE, AUGUSTE. -\t; PAULINA. La démence dé Frédéric est manifeste. O mon Auguste , c’est,à toi qu’est maintenant réservé l’honneur de soutenir l’éclat du nom de'Minski.\tï\ty A U G U a T E.\tz Je ferai mes efforts pour me rendre digne de cette glojrç* PAULINA.\t, x Quant à vous , Amélie, j’aime à croire que vous nç pçppeÉ plus à contracter avecFrédéric un hymen désormais impossible Frédéric.\tC