Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/19

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( »9 ) A C T E I L Le théâtre représente un salon champêtre , dont • les jours sont ménagés de manière à laisser 1 apercevoir des avenues au milieu desquelles , il est construit, et la perspective éloignée du château de M inski. On doit y remarquer les Quatre Saisons, avec leurs attributs 9 et deux portraits de femme en grand, V un représentant la mère, et Vautre, la belle-mère dé Frédéric. ' SCENE PREMIERE. PETERS , portant une branche de laurier , et en regardant tout autour de lui avec inquiétude et beaucoup de vivacité. Ou est-il?... Où le trouver ai-je ? O mon dieu ! pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé, (il cherche de nouveau.) Je le cherche envain depuis un quart-d’heure. Maudite curiosité !... Qu’a¬ vais- je besoin d’aller avertir Paulina et de voir le cortège du grand Maréchal ?... Je n>’en veux ; et si je n’avais pas peur de me fairé du mal, je crois* que je me battrais... Voyons , cherchons encore. On vient... Si c’était lui !... Mon* S C E N E I I. SOBESKI, ANGELA, PETERS. P B T S B S. Ah ! monsieur le Major, l’avez-vous vu ? A K O i L -a. Qui donc ? p b t k n a. e Eh ! qui voulez-vous que je cherche, si ce n’est mon pau¬ vre maître. a o * e s k. i.\t, Nous le quittons à l’instant. Cours de ce côté , ta la rentr contreras sans doute.\t* F B T B B S.\t/ J’y vole. (s/ sort»)\ty