Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/22

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, . ‘ («) SCENE V. FRÉDÉRIC, PETERS. P B T B R 8. Il approche ! je tremble. Je n’aime pas à me trouvér seul avec lui. Frédéric. Que fai s-tu là ? P B T E R 8.\t. Vous ne me reconnaisses pas , monseigneur? Frédéric. Non. P à T B R 8. J’étais destiné à être garde-chasse dans votre château. Mais comme j’ai l’humeur pacifique, j’ai préféré le jardinage) et l’on m’a confié le soin du parterre. FRÉDÉRIC. Ha | j’en suis bien aise.\t. p b t b R s 9 d part. Il parait bien radouci.\t* FREDERIC. Approches-moi un siège.\t, ’\t* P E T B R 8. Volontiers. {Il prend un fauteuil et Papporte.} (\tI\tFRÉDÉRIC., Non, laisse-le ; je n’en veux plus. Peters, le reportant. Gomme il vous plaira. Frédéric , se promenant à grands pas. Quelle situation ! quelle existence i quelle famille que la mienne. ( il s9 arrête et réfléchit} il fixe Péter s. } Tou jour! des espions autour de moi !\t, p b t e r s, à part.\t~ Gare à moi, voilà une rechûte. Frédéric 9 fixant Péters. Comment te nommes-tu ? pbters.\t_ Péters , monseigneur. F R É D £ R IC. Eh bién , monseigneur Péters, va-t-en. P £ T B R 8. Que je m’en aille.\t* ‘\tF R É D^É-R I e. Oui.\t' '\tPETERS. Y pensez-vous, mon cher maître? dans l’état où vous êt< je n’ose vous laisser seul»