Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/41

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I r" x ( 4r )\t' P A U L r M À. Tout semble conspirer contre nous , ju’qu’à Auguste qui demande la réclusion de son frère dans'un château de nos do^ m aines. O O N A 8 K O. J’ai appuyé cette mesure par un motif qu’il n’a pu deviner , 9t qne vous approuverez sans doute. ’ P A U L I N A. ' Quel est-il ? '\tD O N A S K O. Ne faut-il pas que Frédéric périsse ? , P A V L I N A»\t' Eh bien.\t. D O N A 8 K O. Si le Maréchal nous constitue ses gardiens , l’honneur de la famille est sauvé. Et nous restons toujours les maîtres de no¬ tre ennemi.\t* P A U L I M A. Je vous entende. D O N A S K O. Dans quel château voulez-vous qu’il soit relégué» P A V L I M A. Il en est un bien isolé dans la forât de Minski , et de plus gardé par.un homme dont je réponds comme de moi-même» .\tB O N A 8 K O. Est-il bj^n solitaire ? PAUL INA. . Absolument. ,\t/ D O N A S K O. Le gardien est un homme de caractère et tout à vous ? PAULIN A. Tout à moi. D O N A 8 K O. IL n’en faut pas davantage. Nous n'avons qu’à diriger les esprits du tribunal vers ce but. Pour y amener le Maréchal, et ne lui laisser aucun soupçon, nous lui proposerons de choi¬ sir lui-même la garde militaire qui veillera sur Frédéric» Le reste est notre affaire.\t'\t‘ p A v L î N A. Allez , mon cher Donasko, allez retrouver le Maréchal, in< ventes des raisons capables de le convaincre/Joignez vosins* tances aux larmes d’Amélie. Puissiez-vous réussir et dissiper mes alarmes.\t*

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Comptez sur moi. ( U sort. ) Frédéric. F L