Page:Hubert - Frédéric de Minski ou le Tribunal de famille, 1810.djvu/43

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t 43 )\t' Z\tAUGUSTE. Il est dans tes mains. Donne , donne , que je le rappelle à la vie. p A v l z M A. A la-vie»\t( ■\tD O & B A K. Madame , prenez pitié de son état. A U Ô U 8 T E.\t' C’est pour un frère que je t’implorè , pour un frère qui -m’aime , et qüi conserve encore assez de raison pour te savoir gré de cette bienveillance.\tv P A V I* I N A. Qui conserve , dis-tu , assez de raison.... auguste, vivement. . Oui. Ce n’est pas l’instant de t’expliquer ce mystère* mais je crois l’avoir deviné. Hâte-toi de le secourir. ’\tDONASKO. Et vous balanceriez encore. .\tpaulina, avec force» - Non ! ( Elle hésite encore en tenant le flacon. ) O fortune ! A u o u s t e , lui surprend le flacon» Je le tiens ! venez Dorbak. P A U JL Z N A» Que fais-tu mon fils 1 Sa figure se décopnpose par Phorreur que lui inspire cette action > elle court a Auguste , l’arrête et lui reprend le fiacon avec véhémence. Non, non, rends-moi ce fiacon ! (d part»} Qu’allais-je faire, malheureuse? empoisonner ma victime par les mains de son frère ! A U G U 8 T E. Quel trouble affreux t’agite 1\t'\t•\t' Laissez-moi 1 laissez-moi !\t' DORBAK. Quoi, madame , vous ne voulez pas rendre la. vie à une in¬ fortuné qui ne vous a jamais fait de mal. Eh bien , gardes vos secours , nous le sauverons en dépit de vous-même. ( Il sort avec Auguste» ) SCENE V I. PAULINA, DONASKO. DONASKO. Quel vain scrupule a pu vous arrêter î cette occasion man¬

qu^e , il ne s’en présentera peut-être plus d’aussi belle.

P -A V I Z MA* Ah ! fuyez moi ! z