TABLE.
XVIII. Toute la vie d'un cœur. :
. Adolescence
. Printemps. Mai le de'crète et c'eJf officiel
. Puisque le gai printemps revient danser et rire
83 j. Promenade
840. Je ne laisserai pas se faner les pervenches
. •^* '^"^ ** homme ayant un projet sous les deux. . . .
- XIX. L'amouk n'est plus l'anti^e et menteur Cupido
XX. Or. nous cueillions e!<semble la pervenche
- XXI. Il Était une fois un caporal cipaye
XXII. Un coup de tjent passa^ souffle leste et charmant . . .
XXIII. Quinze-vingt
XXIV. J'ai toujours redouté d'aborder une femme
XXV. J^U^EST-CE £UE CETTE ANNÉe EMPORTE SUR SON AILE?
XXVI. Dans un vieux cloître
- XXVII. J'avais dans ma mansarde un buste de Platon
XXVIII. Virgile dans l'ombre
- XXIX. Ouij JE suis le regard et vous êtes l'Étoile
XXX. N'est-ce pas, mon amour, j^ue la nuit est bien lente
- XXXI. Je ne -viens pas vous voir le jour; voici pourquoi . . . .
XXXII. L'heure sonne. Un jour va naître
- XXXIII. A DEUX soeurs
XXXIV. Un jour qu'elle m'avait dit : Donnez-moi vos yeux. .
- XXXV. NiVEA NON FRIGIDA
XXXVI. À Madame la princesse Sophie Galitzine
- XXXVII. À Madame J. .
XXXVIII. Je ne sais pas pourquoi les femmes
- XXXIX. Pendant qu'elle dort
XL. La foret
XLI. Chanson. {Le prince de Joinville, ..)
XLII. J'Étais un lycéen honnête
- XLIII. FURENS FmMINA
XLIV. Cela la désennuie,- elle vit toute seule
XLV. Chanson de celle qui n'a pas parle
XL VI. TOI d'où ME VIENT MA PENSÉe
- XL VII. Danse en rond
XL VIII. Oh ! DiSj te souviens-tu de cet heureux dimanche ?. . .
XLIX. Garde A jamais dans ta mémoire
L. Ah ça mais ! quelle idée as-tu, capricieuse
LI. A UNE immortelle
LU. Horace, et toi, vieux La Fontaine
- LUI. Chanson. (Bon empereur, vous Êtes maître...)
LIV. A FORCE DE RÊVER ET DE VOIR DANS LA PLAINE
- LV. Les péripéties de l'idylle
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