Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIV.djvu/359

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Et quand dé près enfin à vos regards s’étale,
Comme la table offerte à l’affamé Tantale,
Cette île radieuse, aux rivages si beaux,
Alors on reconnaît, dérision fatale !
Que ses temples sont des tombeaux !

XLIX Oh ! que,d’amis j’ai vus


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