Aucune division indiquée.
Rétablissons quelques lignes non rayées et qui peut-être ont été oubliées en copiant le manuscrit ; après l’extermination du grand saint Barthélemy, on lit :
Z3. Feuillet 283.
Il y eut des épisodes.
Une estampe les charma et fut un moment épargnée. Elle représentait les vaches grasses et les vaches maigres. Ceci amena une déclaration de Georgette. Gros-Alain lui demanda :
— Voudrais-tu avoir une vache ?
Elle répondit :
— Boui.
— Voudrais-tu la mener aux champs ?
— Boui.
— Avec un fouet ?
— Boui.
— En aurais-tu peur ?
— Mais non, dit-elle.
De lacération en lacération ils arrivèrent à une autre estampe au bas de laquelle on lisait : — An de Rome 739. Consulat de Livius Drusus et de Calpumim Piso. L’estampe représentait une petite Vierge Marie âgée de quatre ans. Cette figure fit rêver René-Jean, et parut éveiller en lui de tendres souvenirs. Il apostropha Gros-Alain :
— Hein, toi, tu n’as pas de bonne amie.
Et il lui tira la langue.
Gros-Alain, un peu confus, baissa la tête.
Tailler en pièces l’histoire… (Voir p. 241.)
X4. Feuillet 307. — IV. Une méprise.
Le bas de cette page et le haut du feuillet 309 sont raturés ; c’est qu’il n’y avait pas, dans la première version, de méprise ; Guéchamp ne croyait pas apercevoir au bout de sa longue-vue l’échelle, il l’attendait :
Brusquement il (Gauvain) fit signe à Guéchamp de l’approcher.
— À propos, Guéchamp, l’échelle de sauvetage ?
— Une échelle pour trois étages n’est pas facile à rencontrer. Nous n’avions pas le temps de la fabriquer, n’ayant que si peu d’heures devant nom et tant d’autres soins à prendre. On a fini par en trouver une.
— Où ?
— À Larchampy. Il a fallu aller jusque-là.