Puis il a mentionné le fait dans le premier paragraphe du chapitre intercalé. (Voir page 290.)
Feuillet 321. — Le chapitre : Symptômes d’empoisonnement, avait pour premier titre : Malesuada caro. Trois feuillets plus loin, cette mention : Interrompu le 10 juillet 1867. Au feuillet suivant : Repris le 4 décembre 1867.
Feuillet 326. — En face du paragraphe commençant par : Il y a deux façons d’être inaccessible, cette note :
La nouvelle m’arrive que Ruy Blas vient d’être interdit.
Feuillet 327. — Au bas et en marge, une épreuve de journal paginée 328 ; c’est une note relative à l’interdiction de Ruy Blas ; le journal donne la lettre écrite par Chilly, directeur de l’Odéon, à Victor Hugo, et l’informant de l’interdiction. Suit la réponse de Victor Hugo à M. Louis Bonaparte, publiée dans Actes et Paroles.
Feuillet 368. — En marge, le croquis, au crayon, de la Cave pénale, avec les indications données dans le récit ; puis plus bas, toujours au crayon, ces lignes inédites :
La geôle de S. (Southwark) a été démolie. Démolir ces édifices, cela s’appelle embellir les villes. Supprimer l’histoire, quel embellissement !
Feuillet 381. — Avant le chapitre : Solidité des choses fragiles, cette date : 14 février 1868.
Feuillet 398. — À ce feuillet commençait le chapitre : Ce qui erre ne se trompe pas. Dans cette version primitive, bien des détails sur les manœuvres de Barkilphedro pour arriver à son but, les conseils pris par la reine, le rapport du lord chancelier n’existaient pas. Auguste Vacquerie, en lisant au fur à mesure les placards qu’il corrigeait, avait, dans une lettre, appelé l’attention de Victor Hugo sur la nécessité de certains éclaircissements. La reine connaissait-elle la difformité de Gwynplaine ? n’hésitera-t-elle pas avant d’introduire un pair d’Angleterre ridicule à la Chambre des lords ? Ces remarques nous valurent les développements compris dans les feuillets 393, 394, 395, 396 et 397, reliés à l’ancien début, devenu le feuillet 398 ; il a suffi, pour établir l’enchaînement, de biffer les cinq premières lignes.
Feuillet 419 :
16 avril. Mon doux petit Georges[1] est mort avant-hier 14 avril 1868. Je reçois la nouvelle aujourd’hui. Reviens, doux ange.
Feuillet 441. — En marge du chapitre IVe : Mœnibus surdis campana muta, la date : 1er mai 1868.
Feuillet 488. — Le début du livre : Le Capitole et son voisinage, est daté : 30 mai 1868.
Feuillet 501. — Le chapitre : Impartialité, avait pour variante de titre ; États service de l’aristocratie.
- ↑ Premier petit-fils de Victor Hugo.