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Page:Hugo - Les Travailleurs de la mer Tome II (1892).djvu/35

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VI

UNE ÉCURIE POUR LE CHEVAL


Gilliatt se connaissait assez en écueils pour prendre les Douvres fort au sérieux. Avant tout, nous venons de le dire, il s’agissait de mettre en sûreté la panse.

La double arête de récifs qui se prolongeait en tranchée sinueuse derrière les Douvres faisait elle-même groupe çà et là avec d’autres roches, et l’on y devinait des culs-de-sac et des caves se dégorgeant dans la ruelle et se rattachant au défilé principal comme des branches à un tronc.