croit lire ce que Gomera et Torquemada rapportent de la fête du jubilé mexicain : de même[1] que, dans l’ouvrage de Sextus Empiricus[2] contre les astrologues, on trouve pour ainsi dire décrite la figure symbolique[3] que nous avons fait représenter Planche xv, d’après le manuscrit conservé à Veletri. Chez tous les peuples de la terre, les idées superstitieuses prennent la même forme au commencement et au déclin de la civilisation, et c’est à cause de cette analogie qu’il est difficile de distinguer ce qui a été communiqué de nation à nation, et ce que les hommes ont puisé dans une source intérieure.
En parlant de la fête séculaire, le père Torquemada désigne l’instant du sacrifice d’une manière très-précise en apparence, mais qui renferme une contradiction réelle :