Page:Huysmans - Croquis parisiens.djvu/208

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La pensée de s’étendre seul, par ces nuits d’orage où l’on sue comme dans une étuve, où l’on se retourne dans des draps poissés, le réjouissait aussi. « Je plains les gens qui sont à deux », se disait-il, en roulant sur le lit, à la recherche d’une place plus fraîche. Et la destinée lui semblait, à ces moments-là, plus hospitalière, moins rétive.