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10. — 664 (février 1266). — Ghiyâth eddîn Balaban, gendre d’Altmich.
11. — 685 [fin de] (commencement de 1286). — Mo’izz eddîn Keï Kobàd, petit-fils du précédent.
12. — 687 [fin de]. Selon Firichtah, t.I, p.153, l. dern., ou plutôt de 688 (premiers jours de janv. 1290). — Djélàl eddîn Fîroùz chah Khildjy.
13. — 695 (1296). — Rocn eddîn Ibràhîm, son fils.
14. — 695 (1296). — ’Alâ eddîn Mohammed chah, neveu et gendre de Djélàl eddîn.
15. — 715 (janvier 1316). — Chihàb eddîn’Omar, fils d’Alâ eddîn.
16. — 716 (avril 1316). — Kothb eddîn Mobàrec chah, fils d’Alâ eddîn.
17. — 720 (1320). — Nàssir eddîn Khosrew.
18. — 720 (1320). — Ghiyâth eddîn Toghlok chah meurt en 725 (1325).


Des dix-huit souverains inscrits sur cette liste, trois (le 3e, le 7e et le 8e) ont été omis par Ibn Batoutah. Notre voyageur n’a pas fait mention non plus d’un enfant de trois ans, fils de Mo’izz eddîn Keï kobâd, et qui fut placé sur le trône, sous le nom de Chems eddîn Keïoumors, lorsque son père se vit atteint de paralysie[1].

  1. Khondémîr, t. III, fol. 103 r° ; Firichtah, t. I, p. 152, 153.