Page:Ibn Khaldoun - Prolégomènes, Slane, 1863, tome III.djvu/488

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��PROLÉGOMÈNES

��j^ u quelques. » Ce mot désigne un nom- bre quelconque, depuis trois jusqu'à neuf, ou, selon d'autres, depuis trois jusqu'à dix, II, 197.

ic>^. La faculté d'exprimer ses pensées d'une manière claire et précise, III, 32 5, note.

(_5llj. Ibn Rhaidoun emploie ce mot dans le sens de Ji:^Li. «nécessité,» texte ar. 11,295,1. 8; trad. m, a53.

|ï»j. Espèce de trompette, II, 1\m.

ev^ «famille noble, • I, 280. »<xAj|. Synonymes de cet adjectif , III, 819.

i*Aj « inauguration, » I, U'iU et suiv.

yLo «l'exposition,» c'est-à-dire la rliéto- rique , III, 264, 265, 3ii et suiv.

^U^ I séparé , » terme de métaphysique , nf.94.

ijUj'I. Ce terme s'emploie pour désigner la faculté de retenir exactement ce qu'on a appris, II, 465; voy. aussi Abd-AUu- tif. p. 536 , 1. 8.

ihj^- Voy. Jj .

^L'expression ^ ^ (^ ylTsignifie « se tenir sur ses gardes , se tenir prêt , » afin d'obtenir un avantage ou d'éviter un danger, texte ar. I, 24, 1- 17. Voy. aussi texte ar. III, 92, 1. 16, où on a imprimé par erreur Aj , contre l'auto- rité des manuscrits. Ce mot est presque toujours altéré ou mal ponctué par les copistes.

jlx». Ce mot s'emploie pour désigner tous les versets du Coran, et, dans une ac- ception plus restreinte, il signifie les sept versets dont se compose la première sourate, lil, 36 1 . s/v^. Ce mot se trouve texte ar. II, 46, 1. 4, et représente le mol persan j*a

��^yç' I improbation , • 1, i.xxvi, note, 72,

��note.

��Ji» «la dialectique, les topiques,» III, 38, note.

��i.|j;>f. Ce mot, pluriel de «y». , est de la seconde déclinaison, II, 180, note.

jiikll fjM. «la partie générale.» Signifi- cation probable de ce terme, III, 222 , note.

^.«>. > . Selon les physiciens , ce mot désigne un corps quelconque , organisé ou non ; on désigne un «corps animé» par le mot tV«;>, m , 207, noie.

^^ (t manifestation. » LesSoufis emploient ce terme pour désigner la manifestation de la présence divine , texte ar. III , 69 , 1.6.

c-U?-! «consentement général, accord gé- néral » des musulmans relativement à un dogme ou à un point de droit, III,

7- .jjc». et au pluriel «^.jl^. Olliciers du

Sultan qui étaient à la fois huissiers de

la porte, valets de pied et bourreaux,

II, 16, note.

ô—^^. Docteur qui se rapporte à son propre jugement et travaille conscien- cieusement à résoudre des questions de droit, III, 8, noie.

«La» «considération, crédit, influence,» II, 336, note, 340.343.

ijjt v*»4^ «la substance isolée, ou sim- ple. » Ce terme s'employait chez les sco- lastiques pour signifier «atome,» lexte ar. III, 4o, 1. 9; ii4, 1. 9- Voyez le Guide des Égarés, édition de M. Munk , vol. I, p. 186.

CMO-^ «nouveau.» Chez les scolasliques ce mot signifie « ce qui a été créé , qui a eu un commencement , » III , 78 , note.

(jL)'i>:^ «prédictions,» II, 206, note.

Oi>^ «inspiré, qui a eu une vision, » I, 228, note. Voyez les Séances de Harîri, p. 1-I.

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