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Page:Icy - Brassée de faits, 1926.djvu/38

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BRASSÉE DE FAITS

Cela a été vite fait : la petite culotte est abaissée. La voici arrangée comme il faut : en bas, et sur les côtés un peu, elle encadre de blanc la chair ivoirine, rejoignant, à droite et à gauche, la petite chemise qui, elle relevée découvre les reins bordés de son retroussis léger que, de leur bout, les doigts poussent ou ramènent avec art, ici ou là.

C’était bien joli, tout à l’heure, mais que ce l’est plus encore, tout nu, un derrière bien fait ! Oh ! les amours de petites fesses ! Qui m’eût dit qu’avaient une telle beauté des fesses de neuf ans !

Ah ! je peux les bien contempler. On me les laisse explorer de mes yeux curieux. Oui, curieux et uniquement curieux. Car, pour l’instant, rien d’autre ne se mêle à mon plaisir visuel. Seule, la vue de ces fesses d’enfant me transporte et emplit, d’une joie profonde qui le chauffe, mon cœur, mon cœur vierge !

La main potelée les claque, maintenant nues, les petites fesses et, à ce bruit plus strident, mon tympan vibre plus fort et une joie, devenue plus âpre, bouillonne en moi. Quelle musique j’écoute, quelle musique pénétrante me verse, s’appliquant preste, nerveuse et cinglante, la main qu’anime et excite la chair ferme d’une fillette riche en sève, d’une fillette qui, très en avance sur son âge, est déjà capable de serrer dur les fesses !

Et pendant que se délecte mon oreille, quel régal pour mes yeux que le rose exquis qui rosit la peau fine ! Oh ! le délicat panachage de tons tendres et frais qu’est donc une fessée de fillette ! Je le concède sans peine à certains amateurs qui placent ce régal subtil au-dessus