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Page:Inscriptions de l'Orkhon déchiffrées.djvu/32

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(qyi + yn, signe du passif), I,34 = ,|^ f^ )o II,35 et ailleurs, qynyn, son, leur khan (ace.), ri^ h >] Y > oyfyn, son, leur fils, etc. ; ) 1 ^ > ^ /«/y/)"n, ayant tenu, ri^ 1 Y ^ k^iyn, étant venu (comp. p. 23—24).

>^ est w, sans égard à la nature des voyelles. Au commencement du mot, on trouve m dans ^ >^ m^n^ je (comp. p. 20 sous % et p. 28 sous >|) ; en outre, par exemple, ^ ^ >^ ^mg% peine, fatigue, 4^ >> h ^, 4" >> ^ jima, tous (ouig. id.), h >> T 6^ h ^ jiifrmi^ vingt. >^ est très fréquent comme affixe de la l*"® personne du singulier, par exemple >^ iV h «w’tw, mon frère cadet (m ?), ^ >l Y > ofi^m^ mon fils, au datif 4^ >^ iV h m’ma, à mon frère cadet, 4^ >> ¥ I) i^^é^ma (4^ H ^® fè^mqa 11,27), dans ma (n®) année ; au plur. ff ^ -m^z^ -wfz^ comme rP >^ t* T t* h tôrilm’z, notre loi. Également dans les verbes, tels que >^ ^ >| "H^m^ je pris, >> h T h 5^ biri*m, je donnai, au pluriel fp >> ^ n| ""it^m^^j fP >^ h T h 5^ birt*m% et bien d’autres (remarquer cette dernière forme de la 1*^® personne du pluriel, différente de la forme ordinaire des langues turques : -rfyg, etc.). — Concernant Taffixe du participe (et de l’indicatif) du prétérit ¥ >^, | >^ -w^i, -m^ë, voir plus bas, sous ¥• A peu près dans le même sens, mais seulement comme une sorte de participe pur, se présente un affixe 4^ >^ Y» 4^ >^ 6^ ? ^^^^ la vocalisation est douteuse devant le m, -ywo, -Y^ma ou -y«maP etc., et auquel je ne connais pas de parallèle exact dans les langues apparentées, par exemple 4^ >^ $ T h ^ ^ kôi^g’mà ? n,2i = ¥ >> T h M kôi^rm’é 1,16, qui a élevé, 4^ >> $ T h ^» ^ui a donné, I,i6, 4^>^^hh5^ ?Qïûa écrit, I,4i, 42, 4^ >^ Y H 0» Q^î est allé, 1,17, n,22. — Avec >^ -ma-, -mà’^ on obtient, comme dans les autres langues turques, la forme négative des verbes, par exemple, ^ ^ ^ ^ ^ y uâym^di^m^ je ne dormais pas, >^ ^ >^ >] h H qyhn"d^mj je n’ai pas fait, ff >^ Y h 5^ bilm^z (qui) ne sait pas, ) > fP ^ >j > boim^zuti, qu’il ne soit pas. (Je dois mentionner ici que dans les deux inscriptions I et H, en turc proprement dit, il n’y a aucun exemple de cet affixe de l’infinitif, qui dans les langues turques est d’ailleurs général -maq, -màk [r^^ h | h A H >^ H 1,35] P, tandis que nous trouvons dans m, 4,9 :rJ>^Y^)>H • H >^ Y 6 H O qonu§m’*q V^Vfèmq,)