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Page:Ista - Contes & nouvelles, tome III, 1917.djvu/21

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Merci tout de même, mon pauvre vieux… Merci de tout mon cœur…

Ils se serrèrent la main, dans l’ombre toujours plus dense et plus lugubre. Puis Lamollière entendit l’autre qui s’en allait, par le couloir obscur, à pas lourds et lents, comme un vieillard.