Page:Ivoi - Les Cinquante.djvu/337

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Le jeune homme hoche la tête.

Napoléon, suivant sa coutume, va inspecter le champ de bataille.

Et, les yeux fixes, Milhuitcent regarde le vieux moulin, dont les solives vermoulues cachent la volonté surhumaine de l’homme prédestiné

Tout à coup, il y a sur le toit conique comme un éclair. C’est une lucarne frappée par le soleil qui vient de s’ouvrir.

Une forme émerge de l’ouverture.

Une tête d’homme coiffée du petit chapeau.