Aller au contenu

Page:Ivoi - Les Cinquante.djvu/35

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

où un frère avait froidement préparé le trépas de sa sœur, Espérat Milhuitcent gagna sa chambre, pour obéir à l’infâme dont il voulait déjouer les desseins.

Entre ses dents, qu’un tremblement convulsif faisait s’entrechoquer, quelques mots se frayèrent passage.

— C’est pour l’Empereur, pour l’Empereur ! Ah ! sa souffrance, à lui, est si grande, que je dois oublier la mienne.