Page:Ivoi - Massiliague de Marseille.djvu/289

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

et les bêtes sauvages fassent ce que la noble Mestiza n’a pas voulu faire.

Ce disant, il tranchait les cordes qui emprisonnaient les poignets de Pierre, jetait le couteau aux pieds de l’engagé, puis sautant sur son cheval appelé par un léger sifflement, il partit à fond de train. Si rapides avaient été ces derniers mouvements, que le Mayo avait disparu avant que les chasseurs fussent revenus de leur étonnement.