pour libérer le bat-flanc. La sauterelle de droite de la figure rentre dans une catégorie spéciale, celle des sauterelles automatiques, c’est-à-dire des sauterelles quisedéclanchent d’ellesmêmes quand on exerce une pesée sur le bat-flanc ; pour obtenir ce résultat, la boucle inférieure est disposée de manière à faire ouvrir la sauterelle, dont l’aiguille est simplement maintenue par un anneau incomplètement fermé a, dont les branches s’écartent sous l’action d’un effort anormal. Il existe également des
sauterelles au-
tomatiques en
fonte, dont le
déclenchement
est obtenu par la
compression d’un
ressort à boudin
intérieur. Enfin
on fabrique aussi
des sauterelles à
pompe, très sim-
ples mais non au-
tomatiques, dont
les deux parties
sont réunies par
un excentrique commandé par un petit levier extérieur. Les cloisons fixes, qui déterminent des emplacements appelés stalles, empêchent complètementles chevaux de se gêner ou de se battre ; on donne aussi le nom de stalles aux séparations elles-mêmes. Pour être efficaces, ces cloisons doivent avoir au moins lm,10 à l’arrière, de manière que les chevaux ne puissent pas . s ’embarrer et lm,80 à 2 mètres à l’avant pour qu’il leur soit impossible de se mordre. Un bon modèle est réprésenté par la figure 217, car, tout en isolant parfaitement les chevaux, il leur permet de se voir et de s’habituer les uns aux autres. Certaines stalles sont séparées par des cloisons fixes à leur partie supérieure et mobiles à leur partie inférieure. Ce genre de séparation est très recommandable, car il présente les avantages de la stalle sans en avoir les inconvénients ; il est en par-