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Chap. Ⅳ.

Qu’à faute d’entendre Aristote on a condamné la puissance des figures, & conclu beaucoup de choses, & contre ce Philosophe, & contre toute bonne Philosophie.


SOMMAIRE.
  1. Erreurs que l’ignorance des langues a causé dans les lettres.
  2. εἶδος signifie specimen, & non pas species.
  3. Faux qu’il faille dire αὐτός ἄνθρωπος.
  4. Εφέσηκεν mal tourné; & d’icy la question des universaux mal entenduë.
  5. Sotte interpretation de χωρηςἁ
  6. Erreur qu’on commet és mots λόγος οὐσία, & τὸ τί ἦν εἶναι, & πςάττειν, ποιεῖν. Correction de ἐνδελέχεια rejettee contre Ciceron.
  7. Faux qu’on tire d’Aristote que le feu soit humide, contee du Villon.
  8. Qu’a-t’on imposé à Aristote pour n’avoir compris la force du mot θεο‍υς; & pour avoir leu ζῶον au lieu de ζῶν.
  9. Fausse interpretation de Stapulensis sur le mot Κρίνων.