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Chap. Ⅳ.
Qu’à faute d’entendre Aristote on a condamné la puissance des figures, & conclu beaucoup de choses, & contre ce Philosophe, & contre toute bonne Philosophie.
SOMMAIRE.
- Erreurs que l’ignorance des langues a causé dans les lettres.
- εἶδος signifie specimen, & non pas species.
- Faux qu’il faille dire αὐτός ἄνθρωπος.
- Εφέσηκεν mal tourné; & d’icy la question des universaux mal entenduë.
- Sotte interpretation de χωρηςἁ
- Erreur qu’on commet és mots λόγος οὐσία, & τὸ τί ἦν εἶναι, & πςάττειν, ποιεῖν. Correction de ἐνδελέχεια rejettee contre Ciceron.
- Faux qu’on tire d’Aristote que le feu soit humide, contee du Villon.
- Qu’a-t’on imposé à Aristote pour n’avoir compris la force du mot θεου ς; & pour avoir leu ζῶον au lieu de ζῶν.
- Fausse interpretation de Stapulensis sur le mot Κρίνων.