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Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/315

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c’était le panier destiné à recevoir le cadavre du condamné, quand justice est faite.

Arrivé à la porte du cimetière, un des hommes mit pied à terre ; le fossoyeur, la casquette à la main, vint pour l’aider ; pendant que l’homme qui était resté sur la charrette tenait la corbeille, les deux autres la recevaient dans leurs bras ; le fardeau était moins lourd qu’embarrassant ; ils le laissèrent maladroitement tom-