Page:Jaurès - Histoire socialiste, VI.djvu/399

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

magements pour les spoliations et les vexations de toute nature dont son territoire et son peuple étaient l’objet, vint aussi faire sa cour à Napoléon, qui ne lui consentit, selon son habitude, que de vagues et illusoires promesses.

(D’après une estampe de la Bibliothèque Nationale).

Napoléon comptait sur l’éclat de sa présence à Dresde, sur la magnificence et la solennité de ses attitudes, sur le prestige de ses armes, de ses