Page:Jean de Léry - Voyage au Brésil - Gaffarel vol 2, 1880.djvu/136

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ici fin à discourir de leur maniere de faire : toutesfois les lecteurs en pourront encore voir quelque chose au colloque suyvant, qui fut fait au temps que j’estois en l’Amerique, à l’aide d’un truchement : lequel non seulement pour y avoir demeuré sept ou huict ans, entendoit parfaitement le langage des gens du pays, mais aussi parce qu’il avoit bien estudié, mesme en la langue Grecque, de laquelle (ainsi que ceux qui l’entendent ont jà peu voir ci-dessus) ceste nation des Toüoupinambaoults a quelques mots, il le pouvoit mieux expliquer.