Toüoupinambaoult. - Ere-ioubé ? Es-tu venu ?
François. - Pa-aiout. Ouy, je suis venu.
T. - Teh ! auge-ny-po. Voila bien dit.
T. - Mara-pé-déréré ? Comment te nommes-tu ?
F. - Lery-oussou. Une grosse huitre.
T. - Ere-iacasso pienc ? As-tu laissé ton pays pour venir demeurer ici ?
F. - Pa. Ouy.
T. - Eori-deretani ouani repiac. Vien doncques voir le lieu où tu demeureras.
F. - Augé-bé. Voila bien dit.
T. - I-endé repiac ? aout I-endérépiac aout é éhéraire. Teh ! oouéreté kenois Lery-oussou yméen ! Voilà doncques, il est venu par-deçà, mon fils, nous ayant en sa memoire helas !
T. - Erérou dé caramémo ? As-tu apporté tes coffres ? Ils entendent aussi tous autres vaisseaux à tenir hardes que l’homme peut avoir.
F. - Pà arout. Ouy je les ay apportez.
T. - Mobouy ? Combien ?