Page:Jean de Rotrou-Oeuvres Vol.4-1820.djvu/32

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Et que cet autre hymen lui puisse être aussi doux [320]

Que le premier fut triste et pour elle et pour vous.

Il sort.

Argie

Polynice ! Mon père, arrêtez ce barbare ;

Qu'il diffère un moment la mort qu'il me prépare,

Et qu'il reçoive au moins l'adieu que je lui dois.

Cessez, pleurs et soupirs qui m'étouffer la voix. [325]


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