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Page:Joison - Le secret du cocu à roulettes ou le cadavre qui tue, 1915.djvu/51

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apprenant qu’un de ses oncles venait de mourir. Puis, il nous questionna sur le but de notre visite et se montra étonné de nous voir si nombreux :

— Nous avons un grand travail à accomplir répondit Lautrec, et à se sujet je me permettrai de vous demander votre concours.

— Il vous est tout acquis.

— Voici, en un mot, de quoi il s’agit. À votre insu, un cadavre a dû être caché dans votre jardin ou dans votre maison.

— Mais c’est impossible !

— Cela est, dit brusquement mon ami.

Et il donna des ordres aux agents qui l’accompagnaient. Ceux-ci se mirent en devoir d’inspecter le jardin. M. Aubrant nous accompagnait et sa surprise semblait avoir atteint son paroxysme.

On ne découvrit rien au jardin.