Que j’ | o-üsse, e-üsse (eusse) |
que tu | o-üsses, e-üsses (eusses) |
qu’il | o-üst, e-üst (eust, eût) |
que n. | o-üssons, -iens, -ions (eussions) |
que v. | o-üssez, -iez (eussiez) |
qu’il | o-üssent, e-üssent (eussent) |
Part. passé. O-ü, e-ü (eu).
Ainsi se conjuguent le parfait et l’imparfait du subjonctif de savoir. Je soi, tu so-üs — se-üs, il sóut — sot ; q. je so-üsse — st-üsse, etc.
Avoir
Ind. prés.: j’ai, tu as, il a(t); n. avons, v. avez, il ont-
Subjonctif présent : q. j’aie, q. tu aies, qu’il aiet, ait (de très bonne heure); q. n. aiens — ayons, q. v. aiez — ayez, qu’il aient.
Futur-conditionnel : avrai — avreie, arai — areie; mêmes formes pour savoir : savrai — savreie et sarai — sareie. Ce sont les formes usitées jusqu’au xvie siècle, où elles sont remplacées par aurai, saurai, où l’u, qui a remplacé le v, parait d’origine méridionale.
Savoir
Ind. prés. : je sai, tu ses, il set; n. savons, v. savez, il sevent. Au xvie siècle, on écrit sais, sait, formes actuelles.
Subjonctif présent : q. je sache, q. t. saches, qu’il sache ; q. n. sachiens — sachions, sachons, q. v. — sachiez, sachez, qu’il sachent.
Pour le futur-conditionnel, cf. supra, avoir.
Che-oir, choir (< cadḗre pour cádere)
Ind. prés.: