Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 10.djvu/309

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Si l’on ne veut avoir le développement de que par rapport aux accroissements et de et il n’y aura qu’à supposer et constants ; par conséquent

et et pourront être des coefficients quelconques.

Si, dans les accroissements de et on voulait considérer les deux termes

on ne ferait alors que

et pourraient être prises pour des constantes quelconques, et ainsi de suite.

Soit, par exemple :

on aura, en prenant les dérivées d’après la Leçon VI, et supposant constantes,

et ainsi de suite.

Donc, lorsque et deviennent on aura

Si l’on veut s’arrêter à ces trois premiers termes, alors, le terme