Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 13.djvu/266

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chement. Il ne me reste de papier que pour vous embrasser de tout mon cœur.

À Monsieur d’Alembert, secrétaire de l’Académie française,
membre de l’Académie des Sciences, etc., etc.,
rue Saint-Dominique ; vis-à-vis de Belle-Chasse, à Paris
.

113.

D’ALEMBERT À LAGRANGE.

Ce 4 février (1773).

Voilà, mon cher et illustre ami, le reste de mon sixième Volume. Je souhaite que vous trouviez dans ces broutilles quelque chose qui mérite votre attention. J’ai reçu votre Lettre sur l’affaire dont je vous ai parlé, et j’y répondrai dans quelque temps. J’envoie en même temps à M. Lambert un exemplaire de ce sixième Volume, que je vous prie de lui faire agréer, et un à l’Académie, que j’assure de mon très-humble respect. M. de la Lande s’est chargé de faire parvenir ces Volumes à M. Bernoulli.

(En note : Répondu le 19 juin 1773.)

114.

D’ALEMBERT À LAGRANGE.

À Paris, ce 9 avril 1773.

Mon cher et illustre ami, j’ai communiqué à M. de la Place les réflexions très-justes et très-sages que vous faites sur les vues qu’il a par rapport à l’Académie de Berlin, et nous profiterons de vos avis si les