au point où et finisse au point semblablement situé au delà de l’aphélie où et on aura, pourvu que
si est impair, et
si est pair, étant la valeur de dans l’aphélie.
À l’égard de la condition de comme nous avons vu (no 51) que ne peut être pour les premiers termes de et auxquels il suffire le plus souvent d’avoir égard, il est clair que cette condition aura toujours lieu dans la partie supérieure de l’orbite où l’on suppose beaucoup plus grand que puisque pour Jupiter et Saturne, qui sont les seules planètes qu’on ait à considérer dans la Théorie des perturbations des comètes, on a à peu près ou
54. Si les limites n’étaient pas assez petites, en sorte qu’on ne crût pas pouvoir négliger les quantités renfermées entre ces limites, on pourrait les resserrer davantage de la manière suivante.
Les deux différentielles
étant mises sous la forme
se changent, par la substitution de à et par la supposition de en celles-ci