tion étant faite, on aura les deux forces suivantes
dans la direction de la force et
dans la direction de la force donc, si l’on suppose
les forces perturbatrices et qui résultent de l’aplatissement de Jupiter et de l’hétérogénéité de ses couches, seront, en général,
d’où l’on tire : par rapport au premier satellite,
par rapport au second satellite,
et ainsi des autres.
Il n’y aura donc qu’à ajouter ces valeurs à celles des Articles XII et XIII. Au reste, comme l’aplatissement de Jupiter n’est que d’environ suivant les dernières observations, la quantité sera fort petite, aussi bien que la quantité de plus le rapport de à sera toujours exprimé par une fraction fort petite ; de sorte que les forces perturbatrices dont nous venons de parler seront nécessairement très-petites.