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Page:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 7.djvu/505

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nous avons traitées, mais on l’y ramènera-aisément en remarquant que

et que

d’ailleurs

on aura donc, en remplaçant,

formule semblable à celle du no IX, et qui serait tout à fait de la même nature si les grandeurs étaient constantes.

L’angle qui mesure l’inclinaison de l’orbite de la planète sur l’écliptique, peut être regardé comme une constante. Au contraire, le rayon de l’orbite, ou la distance de la planète au Soleil dépend de l’anomalie du Soleil et de la planète.

XXIII.

Soient donc

la distance moyenne du Soleil à la Terre ;
l’excentricité de l’orbite solaire en parties de cette distance moyenne ;
l’anomalie vraie du Soleil ;

on aura, comme on sait,

Soient maintenant

la distance moyenne de la planète au Soleil ;