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Page:Julien - Les Avadânas, contes et apologues indiens, tome 3.djvu/131

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une chaumière de village, s’écria-t-elle en parlant à la peinture, il n’est pas aisé de disposer une chapelle. Je vous en supplie, excusez-moi de ne pas vous rendre tous les honneurs qui vous sont dus. »

Chen-chu, ayant fini ses pieuses salutations, se leva pour examiner la peinture, avec la plus grande attention. Il voit un personnage assis. Il était vêtu de crêpe foncé, sa chevelure était blanche comme la neige, et les traits de son visage offraient une vérité d’expression qui faisait douter si c’était une peinture, ou un homme vivant. D’une main, il tenait un jeune enfant, qu’il pressait contre son sein ; de l’autre, qui était dirigée en bas, il semblait montrer la terre.

Le fils et la mère raisonnèrent long-temps