branches : la divination qui vient par l’esprit de Dieu, qui en : divinement inforée, telle qu’eft la révéiatioa qui a été faite aux Prophètes & aux Arôtre-, la feule véritable, doit être crue avec ioumifnon ; & ne peut être mife en dou~p nous ne t’examinerons donc pas, parce qu’ayant fon origine dans une <tmrce divine elle ne peut être connue que parla foi ; cette divination forme la preniiere claire. Lt féconde contient toutes les divinations naturelles ou artificielles. La tMinème renferme celles qui font operées par )t’K :uvre du démon, & qu’on appelle communentent enchantemens, fortiléges, ou magie diabolique, μαντικὴ πνευματικὴ, Φυσικὴ ὴτε χνικὴ, κοιηνὴ ἤ δμωδὴ, διαβολική.
La divination natureUe on artificielle regarde les chofes, qui dépendent des effets ou des cot fidérations pbytiques. Μαντικὴ Φυσικὴ ἢ τεχνικὴ [texte latin]. Cette divination n’a rien de furnaturel : mais elle n’ejft pas certaine, parce que les effets fur lefquels eUe< fondée peuvent changer d’un moment à l’autre, & par conféquent pro’’ duire un événement tout different de celui qu’on a prédit les préfages que les médecins tireut de cettains umptomes des matadi~s font dans ce cas ; car, H peut fe.faire un dérangement fubtt par une caute imprévue qui anéantit touts leurs préiages. Selon Galien les principaux figues fur les que1s.les. medecins peuvent fonder leurs prédirions, ce tout ceux qu’ils voyent dans les urines, dans les excrémens, d<M)s les crachats, dans les tueurs, dans tcutes les cho&s qui font dépendantes des aSeSions du corps, & qui paroiMent dans les fondions na~reftes, animales & fpirituelles ; τὰ ἐμφαινόμενα ἐν τοῖς οὔροις, διαχωρήμασι, πτυέλοις, ὑδρῶσι, καὶ τὰ εὐρισκόμενα ἐν
