ταῖς δίαθέσουσίν ολου τοῦ σώματος, καὶ τὰ ἐμφαινόμενα ἐν ταῖς φυσικαῖς καὶ ψυχικαῖς ἐνεργέιαις. Gal. de Sig.
Mais tous ces ngnes font très-couvent trompeurs, & les plus habiles medecins en conviennent : le pouts même, d’où l’on peut tirer le plus de conjectures, jette fouvent dans l’erreur rien n’eft plus diSicite que d’en aquerir la connoi( !ance & les peribnnfs qui l’ont fouvent cherché avec attention toute leur vie n’ont pn parvenir à l’acquerir. Ceux qui profefiént la médecine, ou l’art conjeaural de guérir les hommes, & qui parlent de bonne foi avouent ettte difficulté. Exploratio , [texte latin] , [texte latin] [texte latin] , [texte latin] [texte latin] [texte latin] , [texte latin] [texte latin] , [texte latin]: [texte latin] [texte latin] [texte latin] [texte latin] [texte latin] , [texte latin] [texte latin] [texte latin] , [texte latin] [texte latin] [texte latin] , [texte latin]- [texte latin] [texte latin], [texte latin] [texte latin] [texte latin] [texte latin] [texte latin] [texte latin], [texte latin] [texte latin] [texte latin] [texte latin] [texte latin], [texte latin] [texte latin]- [texte latin]. [texte latin]. [texte latin] [texte latin]. [texte latin]. [texte latin]. 291. Les medecins n’ont ils pas établi comme un axiome dans certaines maladies, [texte latin] [texte latin], [texte latin] [texte latin], [texte latin] [texte latin] moritur le poulx est bon, l’urine eft bonne, cependant le malade meurt.
Si dans les caufes phy~qttcs tes préfages des medecins
font fouvent trompeurs, combien «a doit-on
pas méprifer les autres divinations, qu’oit place dans
la même clane, t & qui font fondées fur tes figues
qu’on peut tirer de l’arrangetneut, du mouvement &
de l’influence de quelques corps, qui n’ont ~ncun
rapport avec les chofes qu’on veut fXpUfjupr par leur
moyen telle eft la divination fondée fur l’sRroiogie.
y a, dit l'auteur de l’art de penser. une confiellation
,,d ?ns le ciel, qu’il a plu à quelques pertbnnes de nom,,mct’
balance, & qui reHemble à une balance comme
,,a un moalin à vent : ia balance- e& le figne de la ju-