même mère qu’une autre personne, ou de l’un des deux seulement ; c’est m’ maseûr, c’est vosse maseûr, c’est ma, votre sœur (voy. soû).
Masipin, n. m., massepain, excellente pâtisserie qui se fait avec des amandes pillées, du sucre, etc.
Masnadje, n. m., maçonnage, travail de maçon.
Masner, v., maçonner, construire ou réparer en maçonnerie ; révêtir d’une maçonnerie ; boucher avec un ouvrage de maçonnerie.
Masneu, n. m., ouvrier qui maçonne.
Mason, n, m., maçon, ouvrier qui travaille à tout genre de construction où l’on emploie le mortier, le plâtre ou le ciment ; maisse mason, maître maçon, entrepreneur de maçonnerie, maçon qui surveille les travaux des autres ouvriers ; maneûve di mason, aide-maçon, manœuvre, homme de peine chargé de mettre sous la main du maçon ce dont il a besoin pour son ouvrage ; sièrvu les masons, servir les maçons, apporter tous les matériaux aux maçons ; do vin d’ mason, du vin de maçon, c’est-à-dire du genièvre.
Massale, n. f., joue, partie latérale du visage, limitée par la tempe, l’œil, le nez, la bouche, le menton et l’oreille.
Masse, n. f., masse, amas de parties qui font corps ensemble ; masse di sôdârs, masse, caisse spéciale d’un corps, à laquelle contribuent tous les soldats ; foule, grand nombre : one masse di djins, une foule de gens ; one masse di tatches, un grand nombre de taches ; pilon, espèce de gros fouloir dont se sert le fondeur.
Masseû, n. m., masseur, celui qui pratique le massage.
Masson, Armand, de Verviers, ouvrier tisserand ; a publié dtfférentes poésies et chansons dans les journaux : Ju sos bon, Voci l’ hivier, So n’ fleûr moète, Lu Tindeu, etc. A aussi écrit quelques poésies françaises.
Mastèle, n. f., petit pain de méteil, croquant.
Mastike, n. f., mastic, composition de blanc d’Espagne et d’huile, sorte de ciment employé par les menuisiers, les vitriers ; les ébénistes donnent aussi le nom de mastike à une composition formée de sciure de bois et de colle forte servant à boucher les fentes et les trous du bois.
Mastiker, v., mastiquer, mettre du mastic.
Mastoke, n. f., pièce de monnaie de la valeur de cinq centimes.
