Page:Léonard de Vinci - Traité élémentaire de la peinture, 1803.djvu/68

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Chap. CCCXXI. Dans les objets qui s’éloignent de l’œil, quelles parties disparoissent les premières, et quelles autres parties disparoissent les dernières. 
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Chap. CCCXXII. De la perspective linéale. 
 264
Chap. CCCXXIII. Des corps qui sont vus dans un brouillard. 
 265
Chap. CCCXXIV. De la hauteur des édifices qui sont vus dans un brouillard. 
 266
Chap. CCCXXV. Des villes et autres semblables édifices qu’on voit sur le soir ou vers le matin, au travers d’un brouillard. 
 267
Chap. CCCXXVI. Pourquoi les objets plus élevés sont plus obscurs dans l’éloignement que les autres qui sont plus bas, quoique le brouillard soit uniforme et également épais. 
 ibid.
Chap. CCCXXVII. Des ombres qui se remarquent dans les corps qu’on voit de loin. 
 268
Chap. CCCXXVIII. Pourquoi sur la fin du jour les ombres des corps produites sur un mur blanc sont de couleur bleue. 
 270
Chap. CCCXXIX. En quel endroit la fumée paroît plus claire. 
 271
Chap. CCCXXX. De la poussière. 
 272
Chap. CCCXXXI. De la fumée. 
 ibid.
Chap. CCCXXXII. Divers préceptes touchant la Peinture. 
 273
Chap. CCCXXXIII. Une chose peinte qu’on suppose à une certaine distance ne paroît jamais si éloignée qu’une chose réelle qui est à cette distance, quoiqu’elles viennent toutes deux à l’œil sous la même ouverture d’angle. 
 282