Dieu saint, qui vous reposez dans les Saints, et dont les Séraphins célèbrent les louanges par le chant du trisagion, à qui les Chérubins rendent gloire, à qui toutes les armées célestes offrent le tribut de l’adoration ; vous qui du néant avez appelé à l’existence toute créature, et fait l’homme à votre image et à votre ressemblance, et l’avez orné de toute votre grâce, en lui enseignant à chercher la sagesse et la prudence ; qui ne l’avez pas abandonné lorsqu’il devint pécheur, mais lui avez imposé une pénitence salutaire ; qui nous avez rendus, nous vos serviteurs vils et sans mérites, dignes de nous présenter en ce moment devant la gloire de votre saint autel, et de vous offrir l’adoration et la louange prescrites ; ô Seigneur, acceptez des lèvres
- ↑ Chez les Grecs, c’est le prêtre officiant qui baise l’Évangile et fait le tour de l’autel avec le diacre.