Un savant allemand, Günther Wahl, s’est également mépris :
J’ai encore examiné les découvertes de Günther Wahl ; son alphabet égyptien, et la lecture prétendue de l’inscription n’ont pas le sens commun, c’est une rêverie tudesque…
Un savant danois, Zoéga, a collectionné les inscriptions, mais sans pouvoir les lire :
Zoéga a rassemblé une quantité extraordinaire de matériaux pour un vaste édifice… et n’a point mis pierre sur pierre !…
M. le chevalier Zoéga qui a produit un grossissime in-folio sur cette matière a avoué à quelqu’un que je connais qu’il n’avait pas fait un seul pas dans cette étude malgré des recherches immenses. Il est aisé de s’en convaincre à la lecture de son ouvrage.
Enfin les Français de la Commission d’Égypte, c’est-à-dire les savants autrefois emmenés par Bonaparte, et qui ont rapporté d’Afrique de précieux documents, pierres, papyrus, médailles, ont eux-même entrepris de les déchiffrer.