Page:La Croix du Maine - Du Verdier - Les Bibliothèques françoises, t. 1, 1772.djvu/12

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Nous étions sans doute assez riches, en rassemblant les différentes remarques de ces excellens Littérateurs ; nous avons osé cependant y joindre aussi les nôtres. Mais nous ne les aurions jamais hasardées (nous le publions ici avec la plus grande reconnoissance) sans les secours que nous avons reçus principalement de M. de Bréquigny, de l’Académie des Belles-Lettres. C’est avec la même bonté que M. de Sainte-Palaye nous a ouvert ses trésors littéraires : ensorte que si les remarques que nous avons ajoutées se trouvent être de quelque prix, nous en sommes redevables à l’amitié dont ces deux savans Académiciens nous honorent.

Nous ne laisserons pas non plus ignorer les obligations que nous avons à M. l’Abbé Richard, de Dijon, si avantageusement connu depuis long-temps dans la République des Lettres. Les matériaux qu’il nous a fournis, ne sont pas la moindre partie de notre Ouvrage.

Nous avons donc tâché de rendre, avec de tels secours,. les Bibliothèques Françoises de La Croix du Maine & de du Verdier, non-seulement plus intéressantes, mais plus utiles encore qu’elles ne l’ont été jusqu’à présènt. Les remarques suivent immédiatement les Articles, & pour que le lecteur sache à qui les attribuer, elles portent à la fin le nom de leur Auteur. À l’égard de nos remarques nous nous sommes contentés de les distinguer par de simples astérisques ou étoiles.

Les additions ou supplémens, qui se trouvent dans l’une