Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/150

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s’aller repoſer.

Madame de Clèves, après s’eſtre remiſe de la frayeur qu’elle avoit eue, fit bientoſt réflexion aux marques qu’elle en avoit données. Le chevalier de Guiſe ne la laiſſa pas longtemps dans l’eſpérance que perſonne ne s’en ſeroit aperçu ; il luy donna la main pour la conduire hors de la lice.

— Je ſuis plus à plaindre que monſieur de Nemours. Madame, luy