Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 2.djvu/196

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l’avoit le plus embarraſſée, parce que cela luy avoit oſté le plaiſir de donner ſa confiance ; que c’eſtoit une choſe néceſſaire dans la vie, que d’avoir quelqu’un à qui on pût parler, & ſurtout pour les perſonnes de ſon rang. Les jours ſuivants, elle reprit encore pluſieurs fois la meſme converſation ; elle m’apprit meſme des choſes aſſez particulières qui ſe paſſoient.