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Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 3.djvu/99

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où vous fûtes le jour que votre portroit ſe perdit. Vous avez donné, Madame, vous avez donné ce portroit qui m’étoit ſi cher & qui m’appartenoit ſi légitimement. Vous n’avez pu cacher vos ſentiments ; vous aimez, on le ſçait ; votre vertu vous a juſqu’icy garantie du reſte.

— Eſt-il poſſible, s’écria cette princeſſe, que vous puiſſiez penſer