Page:La Fayette - La Princesse de Clèves - tome 4.djvu/68

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contraint de laiſſer couler quelques larmes ; mais ces larmes n’étaient pas de celles que la douleur ſeule foit répandre, elles étaient meſlées de douceur & de ce charme qui ne ſe trouve que dans l’amour.

Il ſe mit à repaſſer toutes les actions de madame de Clèves depuis qu’il en étoit amoureux ; quelle rigueur honneſte & modeſte elle avoit